Boîte à outils
Les ressources disponibles ici ont été collectées et développées pour renforcer les professionnels du cinéma des pays francophones du Sud, dans le cadre des Programmes Clap ACP 1 & 2 (2020-25) mis en œuvre par l’OIF et ses partenaires, avec l’aide financière de l’Union européenne et le soutien de l’Organisation des Etats d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (OEACP)
Les ressources qui suivent (liens internet, fichiers téléchargeables) sont issues d’une recherche auprès des professionnels du film francophone. Elles relèvent des meilleures pratiques identifiées et ne constituent pas une recommandation de l’OIF, dont la responsabilité ne saurait être engagée par aucune d’elles.
Ces informations sont par nature périssables. Prière de nous écrire pour signaler toute erreur, inexactitude ou oubli. Merci d’avance.
Diffusion & Distribution
Listes et annuaires de festivals et distributeurs, normes pour fichier à diffuser
La carrière d’un film ou d’une série peut suivre des chemins très différents, selon la nature du film, son genre, son potentiel commercial dans son propre pays, sur les marchés du Sud (l’Afrique en particulier) et sur les marchés du Nord. L’approche est souvent très différente pour un film ou une série.
Définitions : diffusion, circulation, distribution sont des termes qui désignent tous la vie d'un film ou série une fois terminés quand ils sont montrés au public. La diffusion est un terme un peu flou car il peut englober toutes les formes d'exposition de l'oeuvre ou désigner uniquement le petit écran. Ainsi, par diffuseur on entend une chaîne de TV ou une plateforme en ligne. La distribution désigne précisément l'activité de l'intermédiaire entre le producteur et les lieux ou écrans individuels où le public visionne l'oeuvre; on parle de distribution commerciale ou non-commerciale. Un distributeur est une société active sur un territoire (en général un seul pays), pour lequel il acquiert les droits (tous les droits ou seulement les droits salles par exemple) pour une certaine durée et contre une certaine somme fixe et/ou calculée en pourcentage des recettes. On parle de distributeur international (ou vendeur international) quand la société acquiert les droits pour un territoire plus vaste (en général un ou plusieurs continents, ou le monde entier, ou « le monde moins les pays X,Y,Z ») et les revend ensuite au détail soit à des distributeurs nationaux (c’est le cas général en Europe), soit directement aux diffuseurs dans chaque pays (c’est le cas général pour les zones ou genres où l’exploitation en salles est inexistante ou très faible : l’Afrique, le documentaire, les séries - où les débouchés principaux sont les TV). Par distribution non commerciale on désigne les modalités de visionnage où le public ne paie rien ou presque, ni directement (ticket) ni indirectement (publicité) : ce sont principalement les festivals, les lieux associatifs, les médiathèques, le monde de l'éducation, etc. Ces circuits non-commerciaux peuvent cependant être rémunérateurs pour les producteurs.
Cette section comporte de nombreux liens et listes d’opérateurs utiles pour qui cherche à diffuser ses œuvres. Gagnez du temps en téléchargeant le fichier XL ci-dessous qui comporte 6 onglets : Festivals, Distribution non commerciale, Marchés & Vendeurs internationaux, Distributeurs en Afrique, Distributeurs en Amérique, Distributeurs en ligne. Pour être certain d’accéder à la version la plus à jour, accéder au GoogleSheet actualisé en temps réel ici.
Distribuer une série
Vue la difficulté d’exporter une série africaine, sa distribution se limite souvent à démarcher des diffuseurs en amont du tournage et à la confier à un distributeur continental pour assurer sa carrière au-delà de la première fenêtre. Cependant les récentes ventes de séries : malienne en Afrique du Sud (DSTV), angolaise en France (IDF1), camerounaise en Amérique (web-TVs), sénégalaise en Angleterre (All4 – plateforme de VOD) montrent qu’il faut viser plus loin. La plupart de ces ventes se sont faites en passant par des distributeurs, car elles requièrent une veille permanente pour suivre l’évolution des acteurs et des nouveaux canaux. On peut adopter une logique par territoires (approche directe des TV locales, mandats scindés entre distribution Afrique et Reste-du-monde) et visiter les marchés continentaux (Discop 2 fois par an, MICA tous les 2 ans au Fespaco). La série, par son format plus long, se prête moins qu’un film à la présentation en festivals. Il en existe cependant plusieurs, sur tous les continents.
Sauf exceptions il semble plus simple pour un programme francophone de mandater une société francophone. Liens ci-dessous vers les principales sociétés françaises. Merci de nous signaler ici d’autres sociétés, de tous pays, susceptibles de distribuer des séries francophones du Sud.
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TV France International
TV France International est une association des exportateurs français, dont la base de données Screenopsis en ligne présente 22.000 titres français dont 9.000 sont visionnables aux acheteurs du monde entier. Les 2 sites ne proposent pas de liste des distributeurs : pour explorer leur base et identifier les lignes éditoriales correspondant à vos souhaits vous devez créer un compte d’acheteur (« s’inscrire »).
https://www.tvfrance-intl.com/fr/home.html - https://www.screenopsis.com/www/
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SEDPA
Syndicat des entreprises françaises de distribution de programmes audiovisuels (31 membres référencés)
http://sedpa.info/membres/
Distribuer un film (fiction ou documentaire)
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Les vendeurs internationaux
Lien vers l’annuaire des vendeurs internationaux européens EPF
https://www.efp-online.com/download/pdf/efp_fss_sales_booklet_2018.pdfL’association des exportateurs de films français
http://www.adef.fr/content/membres -
Distribuer vers l’Europe
Les distributeurs les plus ouverts aux films du Sud sont les indépendants rodés aux lancements de films art-et-essai, dans des réseaux de salles capillaires et avec des partenariats média et associatifs très ciblés.
La plupart sont réunis dans les réseaux suivants :
http://www.europa-distribution.org/members/
http://www.distributeurs-independants.org/membres
https://www.cinergie.be/organisation/distributeur -
Distribuer en Amérique du Nord
Même si les salles de cinéma « mainstream » diffusent des films américains à 99%, il existe une Amérique intéressée par l’Afrique. On la trouve sur les campus (où de nombreuses sections d’études africaines ont été créées et qui recrutent des cinéastes africains), dans les festivals (plus d’une vingtaine dédiés aux cinémas afro-descendants) et en ligne (Netflix, AppleTV etc.). Deux distributeurs historiques (ArtMattan et California Newsreel) et deux récemment créés (Flourishing et Neon) pourront être vos portes d’entrée vers ce marché paradoxalement mal balisé.
https://www.africanfilm.com/
http://newsreel.org/
https://www.flourishingfilms.com
https://neonrated.com/
- /downloads/CLAPACP_200925_DistributeursAmerique.pdf
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Distribuer en Afrique
Le marché africain francophone comporte 3 canaux principaux : les salles de cinéma (rarement plus de 3-4 par pays), les TV (en général une station nationale et 2 à 10 chaînes privées, parfois peu solvables) et les nouveaux marchés tels que la VOD via téléphone intelligent. Le point commun de ces 3 canaux est la difficulté de l’approche commerciale : comment les démarcher efficacement, se faire payer, intéresser durablement ces interlocuteurs quand on n’a pas un catalogue incontournable ? D’où l’utilité des quelques distributeurs actifs, principalement implantés à Paris et Abidjan.
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Distribution Afrique - salles :
https://afriquefilms.com
https://www.canalolympia.com/
http://cinemas.films26.fr/les-films-26-connexion/ -
Distribution Afrique – tous supports :
http://www.alshana.com
http://coteouest.tv/
https://www.diffa.tv/
https://www.ifind.picture
http://www.sudu.film/
https://www.thematv.com/contacts/
https://fr.trace.company/activites/content-distribution/ - /downloads/CLAPACP_200925_DistributeursAfrique.pdf
La distribution en ligne
On attend depuis 10 ans que la distribution de contenus en ligne révolutionne le modèle économique du cinéma et de l’audiovisuel africains, mais les résultats tardent à convaincre. Côté Netflix, leur bureau londonien multiplie les pourparlers en 2020 avec quelques producteurs africains francophones, qui restent très discrets sur ce canal prometteur. En attendant, on distingue 3 grandes catégories d’opérateurs en ligne :
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Les grands groupes, qui ont chacun leur offre : Canal+ / Iroko+ (SVOD = par abonnement), Orange (TVOD = à la demande) et TV5MondePlus (AVOD = gratuit, payé par la publicité). Il faut aussi citer DIGITAL VIRGO ENTERTAINMENT, agrégateur leader basé à Paris, Casablanca, Dakar, Abidjan. qui vend clé-en-main des plateformes légales de monétisation vidéo aux grands groupes télécom. Vus la politique d’achat en masse de ces grandes sociétés, les redevances modiques payées par titre, leurs exigences techniques aussi, il est conseillé, quand on ne dispose pas d’un catalogue vaste et géré professionnellement, de les approcher via un distributeur ;
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- la VOD artisanale : souvent le fait de « geeks » de la diaspora disposant d’une forte bande passante, ces offres pullulent sur internet et sont majoritairement pirates. Signalons néanmoins les 2 plateformes légales Cinaf.tv et Wouri.tv, toutes deux dédiées à 100% à la production camerounaise bamiléké ;
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Les chaînes YouTube : un moyen de garder un œuvre au contact du public et à l’abri des pirates, même si les revenus très modiques (1 à 5 € les mille vues, selon durée et public) incitent à n’y aller qu’une fois le film ou la série bien exploités sur tous les autres canaux possibles.
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Opérateurs légaux identifiés, spécialisés en VOD et YouTube de contenus africains francophones :
https://cinaf.tv/premium/
https://www.wouri.tv
https://www.africa-stream.com
https://www.youtube.com/AfricaShows
https://www.youtube.com/aFreecFree
https://www.youtube.com/AFRICAFILMStv
https://www.youtube.com/africaLOVE - /downloads/CLAPACP_200925_DiffuseursLegauxEnligne.pdf
Les marchés de programmes
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DISCOP
Créé en 2010, le DISCOP est le principal marché de distribution de programmes audiovisuels d’Afrique, avec 2 éditions par an, juin à Abidjan pour l’Afrique francophone, octobre à Johannesburg, anglophone : globalement environ 1.000 professionnels. Le DISCOP, déjà très digitalisé (pour les prises de rendez-vous et les visionnages s’est transformé en tout digital à cause du COVID pour son édition 2020. Le DISCOP est plus axé sur les programmes télévisuels que sur le cinéma, les acheteurs présents sont principalement issus des TV africaines et des plateformes en ligne.
https://www.discop.com/virtualmarkets -
MICA
Les autres places de marché sont moins régulières, on peut citer le MICA (marché international du cinéma et de l’audiovisuel) qui se tient tous les 2 ans pendant le Fespaco à Ouagadougou.
https://fespaco.bf/mica-inscription/ -
MIP
Le plus grand marché audiovisuel au Monde est le MIP, qui attire 3 à 4.000 acheteurs du monde entier à Cannes, en 2 éditions , le MIPTV en mars et le MIPCOM en octobre. C’est un marché extrêmement ramifié et rythmé, où les néophytes peinent à trouver leur place.
https://www.mipcom.com/fr-fr.html / octobre
https://www.miptv.com/landing-pages/francais/ / mars
Les festivals & la diffusion non commerciale
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Comment identifier les festivals adaptés à votre film ou série
On recense près de 10.000 festivals dans le monde, c’est un univers en perpétuel changement appelé à de grandes transformations depuis la pandémie. Nous proposons ici les liens vers les principaux annuaires de festivals et une liste composée sur la base d’avis de professionnels du Sud, qui comprend les sections suivantes :
- 70 grands festivals par continents et par genres (courts, documentaires, animation, programmes TV)
- 50 festivals identifiés en Afrique et dans la Caraïbe
- 50 festivals spécialisés dans les « cinémas du Sud », classés par continents et pays. - /downloads/CLAPACP_200925_Festivals.pdf
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https://filmfreeway.com/festivals : base de données mondiale sur 9.000 festivals de films
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https://filmfestivals.com/ : plateforme ineternationale d’information générale sur les festivals de films
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https://www.unifrance.org/recherche/manifestation : liste des 300 principaux festivals mondiaux
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http://www.festivalscine.com : Carrefour des festivals, l’actualité des festivals en France
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https://www.cnc.fr/professionnels/jeunes-professionnels/ressources-auteurs/festivals/selection-de-festivals : sélection de festivals français par le CNC
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https://www.cinergie.be/organisation/festival-en-belgique : 80 festivals belges
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Comment inscrire votre film en festival ?
La soumission du film peut se faire en direct ou via un distributeur.
Pour les très grands festivals il y a un véritable travail de persuasion qui suppose de l’expérience et des relations fortes. En effet la programmation des sections compétitives est complexe, elle doit préserver un équilibre général, entre cinéastes renommés et nouveaux talents, entre pays, genres, histoires, etc. ce qui suppose une grande anticipation. Ces festivals exigent une exclusivité absolue, soit mondiale, soit continentale et retiennent souvent des films avant qu’ils soient complètement finis, avec une prise de risques certaine, qu’ils peuvent prendre avec des interlocuteurs bien établis (distributeurs réputés) mais pas avec des producteurs ou réalisateurs encore peu connus.
Pour les festivals de moyenne envergure, la soumission se fait de façon spontanée en fonction des indications de leur site internet, en général 2 à 5 mois avant l’événement. La soumission de dossiers est éprouvante et il existe maintenant plusieurs plateformes permettant de s’enregistrer une fois pour postuler partout. -
https://filmfreeway.com/festivals : La plateforme d’inscription en festivals la plus reconnue, très anglophone, qui permet de créer la fiche d’inscription de votre film une fois pour toute et ensuite de postuler à autant de festivals que vous voulez (parmi 9.000 dans le monde entier). Votre film sera visible par les festivals sous forme d’un mini site internet, avec un visionnage HD. Gratuit pour les réalisateurs (le portail se rémunère sur les festivals, frais d’entrée, vente de billets, etc.)
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https://festhome.com/ : Même système que le précédent. 3.000 festivals référencés. Service payant.
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https://www.shortfilmdepot.com/fr : La plateforme leader qui vous permet d’inscrire votre (courts-métrages seulement) dans la plupart des festivals du monde en ne remplissant qu’une fiche, pour un coût de 1,50 à 3 € par inscription. Portail associatif sans but lucratif.
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www.filmfestplatform.com : Administré par l’Agence du Court-Métrage à Paris ce site permet d’inscrire votre court-métrage dans une centaine de festivals en France. Portail associatif sans but lucratif.
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Quelques pistes de diffusion non commerciale
La diffusion non-commerciale repose, suivant les pays, sur les festivals bien sûr, mais aussi des structures parapubliques (monde de l’éducation, médiathèques) et des réseaux associatifs (ciné-clubs) voire informels et militants (bars, mouvements). Chaque pays est un cas particulier avec des pratiques réglementaires et commerciales différentes, trop difficiles à cartographier et qui sont maîtrisées par les distributeurs soucieux de bien diffuser les films sortant de l’ordinaire, pays par pays. Il existe cependant plusieurs réseaux mondiaux de diffusion non-commerciale, que l’on oublie souvent dans un plan de lancement, qui peuvent apporter un complément de visibilité et de recettes non négligeable notamment en Afrique : les coopérations culturelles allemande (Goethe Institut), espagnole (Aecid / Cervantès) et française (Institut français) chacune dotée de plusieurs dizaines de salles de cinéma. Si le Goethe et l’Institut Français gardent une politique constante d’acquisition de films africains (liens ci-dessous), la politique de l’Aecid espagnole est changeante et il conviendra de se renseigner, par exemple auprès du festival du cinéma africain de Tarifa (FCAT) qui a longtemps coopéré avec elle et qui assure lui-même la diffusion non-commerciale de 1.000 films africains dans le monde hispanophone (lien ci-dessous).
https://www.goethe.de/en/uun/auf/ffh.html
https://www.fcat.es/fr/cinenomada-2/
https://www.pro.institutfrancais.com/fr/offre/la-cinematheque-afrique
https://ifcinema.institutfrancais.com/fr - /downloads/CLAPACP_200925_DistributionNoncommerciale.pdf
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FESTIVAL AGENCY : le distributeur 100% festivals
Si le festival est considéré par beaucoup de distributeurs comme un outil de promotion, TFA a une approche originale, qui est de considérer que certains films peuvent faire une partie importante de leur carrière (et de leurs revenus) dans toute la filière non-commerciale, les festivals, centres culturels, universités, etc. C’est particulièrement le cas pour des films à thématique très marquée, films pour enfants, « films de femmes », films musicaux, et beaucoup de documentaires. Une solution à envisager, en concertation avec tous les autres partenaires commerciaux.
http://www.thefestivalagency.com/
Les normes de diffusion
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TV5MONDE
Normes techniques pour la livraison d’un fichier de diffusion à TV5MONDE
/downloads/TV5MONDE_Normes_PAD_HD.pdf
Ce document est proposé ici de façon indicative et sous toutes réserves. Il convient, avant de livrer à TV5MONDE, de vous assurer directement auprès d’eux que ces spécifications sont bien à jour. Ce document reste intéressant pour configurer tout fichier à livrer à un diffuseur, TV5 étant réputé pour sa rigueur et son exigence techniques. -
CST
Normes techniques pour un fichier mezzanine (VOD – standard Netflix)
https://www.cst.fr/imf-app4/